Le 16 décembre 1944, les troupes allemandes lancèrent une offensive surprise dans les Ardennes belges et le nord du Grand-duché du Luxembourg. Préparée dans le plus grand secret par Hitler lui-même, le IIIe Reich joue sa dernière carte dans un secteur faiblement défendu par les Américains. Cette bataille, également surnommée « la bataille du saillant », en raison de la forme de la ligne de front après la percée allemande, fut la plus grande et la plus meurtrière à laquelle fut confrontée l'armée américaine durant la Seconde Guerre mondiale.
Ce dernier pari d'Hitler sur le front occidental amputera la Wehrmacht de ses meilleures unités pour le restant de la guerre et affaiblira l'armée allemande à l'Est, ce qui profitera à l'armée Rouge dans sa progression vers l'Allemagne.
Dans le premier des deux ouvrages consacrés aux opérations militaires dans les Ardennes, l'auteur détaille les combats dans le secteur nord autour de Saint-Vith et de la crête d'Elsenborn. La 6e SS Panzer Armée, forte de 9 divisions blindées, concentrait l'essentiel de la force de frappe allemande et s'attendait à réaliser une percée dans ce secteur. L'échec de Saint-Vith forcera les Allemands à se redéployer vers le sud en direction de Bastogne.
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