«...Malgré la crise, en dépit des misères et des injustices du temps, bien que l’on vit s’accumuler des nuages couleur d’encre, on a l’impression, à cinquante ans de distance, que la troisième décennie de l’entre-deux-guerres a connu quelque chose comme la douceur de vivre. Une espèce de belle époque. Le progrès, déjà, apportait ses agréments, pas encore ses nuisances, cependant que les vieux, le soir autour du poêle, en été sur le pas de la porte, évoquaient des souvenirs par lesquels les jeunes se sentaient greffés sur un passé tout proche».
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