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Une grande industrie nationale: La sucrerie belge
« Ses origines, son évolution, son importance »
Broché / 92 pages / non daté ou dépôt légal à parution
langue(s) : français
dimensions : 205 (h) x 135 (l) x 5 (ép) mm
poids : 120 grammes
DISPONIBLE
très bon état
6,95 EUR
référence : 1016855
Tous les prix incluent la TVA
En décembre 1951, la Commission Nationale d'Expansion Economique publiait, sous les auspices du Ministère de l'instruction Publique, une copieuse brochure réalisée et présentée par l'Ecole Normale Provinciale de Tirlemont : La Culture de la Betterave et la Fabrication du Sucre ; un Centre d’intérêt pour l'enseignement primaire. C'était avant tout un travail d'équipe où tous. Directeur, professeurs, élèves, tant de l'école normale que de l'école d'application avaient apporté leur collaboration. L'ouvrage, destiné à l'enseignement primaire, était conçu et rédigé sous le signe du * Centre d'intérêt ».

Seule une Ecole normale pouvait venir à bout de la tâche que se sont imposée les auteurs ; parmi toutes les écoles du pays, le choix de Tirlemont, capitale belge du sucre, ne pouvait faire l'objet de la moindre hésitation.

Riche de toute l'expérience pédagogique que peuvent apporter des maîtres au courant des conceptions éducatives modernes, riche de l'énorme documentation qu'elle trouvait dans le milieu local, la brochure a connu le gros succès. A vrai dire, l'œuvre de nos confrères de Tirlemont ne pourrait prendre son entière valeur qu'entre les mains des instituteurs des régions betteravières ou des régions voisines, puisqu'elle est essentiellement conçue en fonction de l'exploitation du milieu agricole spécialisé où vit l'enfant ; mais il va sans dire que les écoles des zones non betteravières, que les écoles des grandes villes même peuvent y trouver matière à enseignement : en dehors du sujet proprement dit, la méthode de développement du centre d'intérêt choisi est un modèle pour tous.

Qu'on ne prenne pas ceci pour une critique : les auteurs seraient certainement déçus d'appendre que tel de leurs collègues a cru leur rendre hommage en proposant dans sa classe toutes les activités présen'ées ou suggérées dans l'opuscule. Ils n'ont pas voulu donner un plan de travail. Pas plus que MONSEUR par exemple, dans son remarquable ouvrage « J'étudie mon village » n'a voulu donner un plan à suivre pour l'étude de tous les villages. Aussi bien dois-je épingler ici une phrase de la préface : « Il serait inopportun de proposer une forme définie ou des recettes d'application à propos d'un Centre d'intérêt déterm/né. Ce genre d'enseignement réclame les plus hautes qualités d'initiative ».
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