Après l'immense succès de son Dictionnaire des Rues de Bruxelles et de ses Mémoires Candides d'un Bruxellois Ordinaire, un nouveau cadeau de Jean d'Osta: son Calendrier !

C'est qu'il s'en passe des choses dans une de ses années : «Pour passer le temps, je me suis amusé à consigner dans un «journal personnel», à l'intention de lecteurs imaginaires, les cogitations que m'ont inspirés les fastes, les fêtes, les flonflons, les forfaits, les futilités, les foucades, les fleurs qui ont parsemé une année qui ressemble tellement aux précédentes - et sans doute aussi aux suivantes - qu'on peut la considérer comme une année exemplaire de notre fin de siècle.»

Oui, une année comme les autres, où le nouvel-an revient le 1er janvier, la fête du Travail le 1er mai, la Toussaint le 1er novembre et la Saint-Sylvestre le 31 décembre.

Un calendrier, on s'en doute, pas banal, comme une promenade dans les jours qui passent : avec leur cortège d'événements importants ou quotidiens, curieux, graves, drôles, émouvants, dérisoires. Aujourd'hui, à partir de la fête, un retour au passé, mélancolique ou ironique. Demain, un fait-divers inattendu. Ou encore l'émotion d'une rencontre qui ravive la mémoire.

Un calendrier prétexte à des réflexions, des anecdotes, des souvenirs empreints du solide bon sens de Jean d'Osta, dans son style tendre et malicieux de conteur-né.

Qu'on ne s'y trompe pas: à travers ces éphémérides, c'est toute une existence qui se revit, un regard lucide et moral - mais toujours moqueur et indulgent - sur ce que nous avons été et sommes devenus et qui débouche, sans en avoir l'air, sur une philosophie de la vie.

Un calendrier pour cette année, pour toutes les années à venir. Ouvrez-le à n'importe quelle date : un trésor est caché dedans !