Le livre que l’on nous demande de présenter au public sera bien accueilli par ceux qui savent à quel point M. Louis Wilmet s’cst intéressé à Beauraing.
L’auteur a donné de nombreuses conférences en français et en flamand du haut en bas du pays. Il a l’honneur d’avoir été, au cercle Saint-Jean Capistran, salle de l’Union Coloniale à Bruxelles, le 25 janvier 1933, le premier à traiter ce sujet dans la capitale ; le premier encore à réfuter Les Etudes Carmélitaines dans des conférences à La Hulpe, Verviers et Renaix, les 2, 3 et | avril ; le premier enfin à oser traiter en public le cas de Tïlman Côme, à Ottignies, le 16 juillet. A ces conférences vinrent s’ajouter de nombreux articles très remarqués dans Le Rappel, L’Avenir du Luxembourg, Le Brabant Wallon, Le Messager d’Averbode, Vers l’Avenir, Le Progrès, etc.
Ce livre apparaît comme un ouvrage complet, scrupuleusement objectif, écrit par un homme de bon sens.
OUVRAGE COMPLET d’abord, en ce sens que l’auteur fait un exposé aussi fidèle que possible de tous les faits et de leurs rapports avec les événements semblables dans le passé, et non pas en ce sens que l’auteur a dit tout ce qui pouvait être dit sur Beauraing. Bien téméraire serait celui qui croirait avoir épuisé la matière ! Qui prétendra [...]
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