«Lambermont avec ses nombreuses et riantes villas, ses chalets opulents et surtout ses laiteries où des légions de bambins viennent journellement s’ébattre».
C’était en 1903, dans «Promenade à Soiron» la définition que J. Peuteman faisait de notre localité.
Maintenant tout est changé et en toute modestie, je voudrais par ce livre rappeler quelques souvenirs ou vous révéler un Lambermont inconnu.
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