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L'évolution architecturale de Namur
Broché / 140 pages / édition de 2003
langue(s) : français
éditeur : A compte d'auteur
dimensions : 292 (h) x 208 (l) x 10 (ép) mm
poids : 475 grammes
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Dans cet ouvrage, nous abordons l'évolution architecturale de Namur entre 1850 et 2003. Nous y évoquons les principales rues de la ville au travers de photos prises vers 1900 ou 1940 et des mêmes endroits entre juillet et octobre 2003. Enrichis d'un commentaire, ces documents permettront de mieux comprendre les transformations parfois spectaculaires des rues les plus fréquentées de la ville. La pression immobilière et celle du trafic routier (déjà à partir des années 1930) ont été des facteurs de changements importants. A cela, se sont ajoutés le prix de la main-d'oeuvre et des matériaux ainsi que les nouvelles normes de sécurité et de techniques de construction. Enfin, la décision en 1986 de faire de Namur la capitale de la Wallonie joue aussi un nouveau rôle dans l'évolution architecturale de la ville.

Namur a souffert de l'invasion allemande d'août 1914, de celle de mai 1940 et des bombardements alliés en 1944. La décision communale déplorée par tous est la destruction du quartier du Grognon.

Des décisions plus heureuses ont notamment permis la restauration quasi-complète de la rue des Brasseurs, de l'hospice Saint-Gilles, de l'église Saint-Loup, la mise en piétonnier des rues Haute-Marcelle, de la Croix, de l'Ouvrage, du Président, rue Fumai, de la Monnaie, des rues Saint-Loup, Rupplemont, Saint-Jean, des Fossés Fleuris, de la Halle, du Collège et du Marché, des places du Marché aux Légumes, chanoine Descamps et d'Armes. En 2003, les voiries des rues de Fer, Emile Cuvelier et Saint-Jacques ont été rétrécies. Le quartier de l'Etoile et des Célestines est aussi en pleine rénovation. De nombreux bâtiments publics ont été bâtis ou transformés (poste, gare, quartier des casernes...). On constate un appauvrissement architectural entre les années 1960 et 1980. Les bâtiments se voulaient avant tout fonctionnels. Les façades et les vitrines sont froides et sans recherches pour des raisons de coût et cadrent rarement avec l'environnement de la rue. C'est le cas aussi de bâtiments des Facultés, de l'hôtel de ville, de la gare des bus, de la Poste, d'agences bancaires, de ministères et de magasins. Un revirement a eu lieu depuis les années 1990 pour exiger une meilleure harmonie urbanistique. Les nouveaux bâtiments du MET, boulevard du Nord, formant par exemple un grand ensemble harmonieux. La conservation de façades anciennes ne doit pas empêcher la création d'oeuvres originales.
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