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Auderghem chemins faisant
Cartonné / 184 pages / édition de 2003
langue(s) : français
éditeur : Het Streekboek
dimensions : 302 (h) x 215 (l) x 18 (ép) mm
poids : 1060 grammes
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Jusqu'au régime français, Auderghem était resté un village du Brabant flamand rattaché, il est vrai, à Watermael-Boitsfort. Elle acquit plus tard, en 1863, le statut de commune autonome de l'agglomération bruxelloise et fera finalement partie de la Région de Bruxelles-Capitale dont elle constitue l'une des plus jeunes entités.

Lors de sa création, la commune comptait quelque 1.600 âmes, une vingtaine de chemins et autant de sentiers. Elle ne disposait ni d'une école publique, ni d'une maison communale. Tout devait encore sortir de terre. Près de 150 ans plus tard, elle est considérée comme l'une des meilleures communes de la Région avec 30.000 habitants, des dizaines d'institutions d'enseignement (public ou privé) et 242 voies publiques.

Quand ces voies publiques ont-elles été tracées ? Que signifient les noms de rue ? A quoi donc ressemblait le paysage ? Quelles anecdotes sont liées à ces chemins ? Découvrir les réponses à ces questions, c'est mettre au grand jour tout un pan d'histoire locale, ancienne et contemporaine, car Auderghem a donné des noms de ses habitants à plus de la moitié de ses voies publiques.

Comment caractériser l'Auderghemois authentique sinon par la manière d'exprimer sa pensée ? Souvent cela se fait en dialecte bruxellois, partie en français, partie en flamand ... ou inversement ! Par contre, les noms des rues de sa commune sont presque toujours formulés en français car, s'il connaît bien l'allée des Colzas, il serait moult surpris si on lui parlait du Sloordelle. D'ailleurs, rien ne s'est opposé à ce qu'il soit fait usage dans les deux langues de quelques noms flamands apparus sur des plaques émaillées telles que clos du Blankedelle (rubrique n° 18), avenue du Kouter (n°108), avenue du Paepedelle (n°149), etc.

L'explication du nom des 242 voies publiques permet de reconstituer un puzzle. En passant d'une rue à l'autre, on voit ressurgir le passé de la commune.

Les tableaux I et II peuvent se révéler utiles pour qui veut reconstituer l'ordre chronologique de cette évolution.
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